François a adopté le vélo pliant depuis son arrivée à Lyon. Il est littéralement devenu un « Brompton addict ».
Des transports en commun parisiens au vélo pliant
« Auparavant, j’étais parisien et habitué aux transports en commun. Mais en emménageant sur la région lyonnaise, je me suis rendu compte qu’il serait plus facile de se déplacer à vélo.
J’ai opté pour un modèle pliant. Il faut gravir une grosse côte pour rentrer chez moi et j’envisageais de prendre le bus avec ma monture pour remonter sans effort, ce que j’ai fait pendant 6 mois.
Mais fatigué d’attendre le bus, j’ai pris l’habitude de grimper à la force des mollets. Avec les 6 vitesses de mon Brompton et un peu d’entraînement, ce n’est pas si difficile.
D’un vélo pliant à un autre
J’ai donc fini par résilier mon abonnement aux transports en commun. En revanche, j’ai conservé mon vélo pliant. Il m’arrive de me déplacer sur Paris et dans le train, sa compacité est un véritable atout.
Voyant que j’appréciais ce nouveau mode de transport et que j’étais plus en forme, ma femme a, elle aussi, franchi le pas. Elle a opté pour le même modèle que moi en version électrique. L’opportunité de réduire notre empreinte carbone, d’améliorer notre bienêtre… tout en allant plus vite qu’en bus ou en voiture. »
Crédits photos : Guilhem Barlerin