Dans nos magasins Cyclable, la priorité est donnée à l’humain. Les mots d’ordre : écoute, bienveillance, pédagogie. Des valeurs qui donnent souvent naissance à de belles histoires entre cyclistes. Pierre, acquéreur d’un biporteur Bullit, nous raconte son expérience d’achat auprès d’Agnès, du magasin Lille Nord.
Suite à l’achat de son vélo cargo au magasin Cyclable Lille Nord, Pierre a déposé un témoignage sur Google. Dans son message, il a parfaitement résumé ce qui fait l’identité de Cyclable : depuis plus de 15 ans, nous sommes des cyclistes au service d’autres cyclistes !
Qu’est-ce qui vous a conduit à acheter un vélo cargo ?
L’idée du biporteur m’est venue avec le déménagement pour me rapprocher du centre-ville. Avec ma conjointe, nous nous sommes rendu compte que l’on utilisait peu la voiture. En ville, le vélo est beaucoup plus pratique. Avec notre petite fille de 2 ans ½, je trouvais peu confortable le fait de la transporter sur un siège sur porte-bagages. D’où l’idée du vélo cargo.
Comment s’est déroulée votre expérience chez Cyclable ?
J’avais en tête le modèle de vélo que je souhaitais. Je me suis d’abord adressé au fabricant, qui le vendait en ligne mais qui proposait de longs délais. Alors il m’a invité à contacter un revendeur local.
En juin, j’ai donc envoyé un mail à Cyclable Lille Nord : ce qui m’a plu tout de suite, c’est la réactivité ! Une réponse claire, efficace avec la configuration souhaitée. Le lendemain, j’avais le devis avec la faisabilité par rapport à mes demandes. Ce premier contact sans même y être allé était très positif. Cela m’a mis en confiance et m’a donné envie de me rendre sur place. Au magasin j’ai rencontré Agnès, avec qui j’avais déjà échangé.
Et vous vous êtes découvert un point commun avec Agnès : le Bullit…
Oui, le hasard des choses fait qu’elle venait de commander un vélo cargo Bullitt à titre personnel. Autant dire qu’elle était bien au courant des configurations, accessoires, etc. En fait, je n’avais pas le temps de poser la question que j’avais déjà la réponse !
Quand avez-vous récupéré votre biporteur ?
J’ai passé commande début juillet 2021 et le délai annoncé était pour fin septembre. Agnès m’a recontacté mi-juillet pour me dire que les délais n’étaient pas garantis, et vu la situation actuelle, je m’en doutais. Elle m’a ensuite rappelé 15 jours après pour me dire que la configuration que j’avais demandée était bien disponible à la date donnée mais que d’autres modèles étaient disponibles de suite. Je suis donc passé de la couleur bleue au noir. Début août, Agnès m’a appelé pour me dire que mon vélo était arrivé et qu’il était prêt. En 48h, le vélo a été réceptionné puis monté (il y a un gros travail de montage sur ces modèles, environ une journée de travail).
Quel souvenir gardez-vous de cette expérience ?
C’était une expérience d’achat incroyable car j’ai même pu profiter du vélo pendant les vacances avec ma fille. Elle a été ravie de faire sa rentrée à vélo cargo ! Puis j’ai beaucoup discuté avec Agnès, chez qui j’ai vraiment ressenti la passion du vélo. Je pense qu’elle avait bien médité son achat de son côté aussi. D’ailleurs, elle est partie en vacances avec son Bullitt !
Agnès, quelle est ta vision de cette expérience ?
C’est vrai que nous nous sommes liés de sympathie avec Pierre grâce à cette histoire de Bullitt. Nos vélos sont de « faux jumeaux » : celui de Pierre est noir et le mien est bleu. C’est toujours particulier de faire une vente de A à Z. Comme mon collègue Jérôme était en congé, j’ai géré tout le montage de son vélo. C’était délicat car nous n’étions que 2 en magasin et le rythme était soutenu entre les renseignements clients, les ventes, les réparations express, les appels, etc.
Il faut savoir que pour monter un Bullitt, il faut une vraie disponibilité : le cadre arrive nu et il faut monter chaque élément. Le jour où les deux Bullitt ont été livrés en magasin (celui de Pierre et le mien) nous avons convenu avec mon collègue Ismaël qu’il prenait en charge tout le magasin pour que je puisse me dédier complètement au montage du cargo. Au final, notre client était ravi que l’on soit parvenu à lui livrer le vélo aussi rapidement.
Et j’ai été touchée de son cadeau : il m’avait fabriqué un porte-clé avec le mot « Bullitt » d’inscrit ! Moi qui ai l’habitude de partir en voyage avec un objet fétiche, je l’ai bien sûr emmené pendant mes vacances à vélo. Je fais ce métier pour ces rencontres humaines, qui dépassent le cadre commercial : je sais que les vélos que l’on vend vont rouler et qu’ils changent la vie, que ce soit la nôtre ou celle de nos clients !